vendredi 4 novembre 2016

Et aussi ....


 Donc pour résumé, nous aurons, des dédicaces, du jazz,
du funk, mais aussi :
 
 

qui nous préparent une soupe avec leurs légumes et tout leur amour !












du vin de la cave Duclos, de la charcuterie
et du fromage du Haut-Jura :



 

et encore, des desserts faits maison ..... bref,
 
 
 
 
 
 
Et peut-être aussi une surprise ... :)
 
 














Pour la partie RYTHM :

 
 







Le Funk n’est pas mort !

Mr. Féonor est un personnage très influent, anonyme et non reconnu de la musique toute entière. Toujours dans l’ère du temps,il est à ...l’originedes origines, le formateur des créateurs, le souffleur d’idées des inventeurs. Il aime plus particulièrement les styles rythmés, populaires et urbains.
Passionné par les sons cuivrés, on raconte qu’il est aux origines des Brass Bands européens du 19e siècle qu’il aurait ensuite importé sur le continent américain. En 1912, alors qu’il œuvre à la gestion de ce genre d’ensemble, il prête son embouchure de cornet au jeune Armstrong en lui donnant de nombreux conseils.
 
Dans les années 1930, sa rencontre avec Count Basie va ouvrir la voie aux grands orchestres de jazz et à la reconnaissance des Jam-sessions. Il contribue aussi à aider Charlie Parker dans sa volonté de moderniser le jazz au travers du be-bop.
 
En 1958, il conseille Berry Gordy dans la création du label éponyme qui deviendra plus tard Tamla puis Motown. Il lui recommande en 1961 un jeune chanteur dont le monde se souviendra sous le nom de Steevie Wonder.

  Dans sa quête de nouveautés, il rachète une platine vinyle à Clive Campbell alias Kool Herc qu’il croise dans une ruelle du Bronx en 1972. Il soumet au futur DJ l’idée d’organiser les premières Block Party afin de porter les premiers pas du Hip-hop et du Dee Jaying.
 
Soucieux de toujours pouvoir faire se lever les âmes dansantes au cours du troisième millénaire approchant à grand pas, il met en œuvre la rencontre entre le groupe Daft Punk et les écossais du label Soma lors d’une rave party qu’il organise sur le toit du centre Beaubourg à Paris en 1993.
Le 25 décembre 2006, alors que l’humanité venait d’apprendre la disparition du Godfather of Soul, il prononce la phrase épique et originale dans une courte déclaration introspective : « Le funk n’est pas mort ! », (« Funk is not dead ! » en anglais).
 
Quelques années après, il soumet l’idée de créer une formation unique à des musiciens des quartiers populaires de la région parisienne. Cette fois-ci c’est la consécration car le projet qui voit le jour en 2015 porte son nom.
 



Pour la partie BOOKS de la soirée du samedi 5 novembre, nos auteurs :